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Les pistes d’atterrissage les plus spectaculaires

Certains aéroports peuvent se vanter d’avoir des pistes d’atterrissage rocambolesques, offrant un sacré spectacle aux passagers, imposant aux aviateurs confirmés un pilotage irréprochable….

À Saint-Barthélemy aux Petites Antilles, l’aéroport Gustav II ne peut accueillir que des petits avions de moins de 30 places, en raison de sa piste de seulement 640 mètres de long se terminant tout droit dans un lagon. Des avions y auraient d’ailleurs souvent plongé en raison de la marge de manœuvre extrêmement limitée… Pour le coup, c’est l’amerrissage qui est réussi ! Même schéma dans les Antilles néerlandaises, à Saint-Martin plus exactement, où la piste d’atterrissage de l’aéroport Princess Juliana est située au bord de la mer, imposant aux pilotes chevronnés de survoler les plages à une hauteur de 10 mètres seulement avant de s’y poser !

En Antarctique, les rares pistes d’atterrissage destinées aux scientifiques étant souvent gelées, les avions autorisés s’y posent uniquement pendant l’été austral, avant que la glace ne commence à se détacher. L’aéroport japonais de Kansai, situé dans la baie d’Osaka, a lui été construit sur une île artificielle, accessible depuis la route par un pont. Les spécialistes estiment sa durée de vie à moins de 50 ans… Chez nous, c’est l’altiport de Courchevel, niché au beau milieu des Alpes, qui possède une piste d’atterrissage des plus courtes au monde, avec une longueur de 525 mètres. La manœuvre y est périlleuse et réservée aux pilotes habiles et expérimentés, du fait de sa particularité. « Survolez » les photos qui suivent pour en avoir le cœur net (et bien accroché) ! (Source)

Altiport de Courchevel niché au cœur des Alpes 

Aéroport Gustav II, avec amerrissage possible dans un lagon translucide…

Aéroport Princess Juliana, qui met tout de suite dans le bain !

Aéroport de Kansai, 100 % artificiel

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