Flic, poulet, poulaga, perdreau, schmidt, dek, lardu… Autant de sobriquets pour qualifier ces messieurs les policiers français. Mais pourquoi donc les affubler de surnoms pour la plupart tout droit sortis d’un poulailler ?
Les gardiens de la paix n’ont pas été surnommés « poulets » par hasard. Il faut remonter à l’année 1871 pour comprendre l’origine de ce qualificatif peu élogieux. Jules Ferry, à l’époque maire de la ville de Paris, met alors à disposition la caserne de la Cité à la préfecture de police pour y établir ses quartiers. La caserne ainsi allouée avait été bâtie sur l’ancien marché aux volailles… La marée chaussée se serait-elle fait plumer ? (Source)
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